Nous nous retrouvons en début d’année au sein d’un lycée général se nommant Albert Camus , quelques semaines après la rentrée des classes… Vous devez sûrement vous demander pourquoi : Et bien pour la simple et bonne raison qu’il m’est arrivé quelque chose d’incroyable ! D'inimaginable ! Quelque chose d’extraor…

     Le réveil m’extirpa de mon profond sommeil à mon plus grand regret, me poussant à me lever tant bien que mal. 7h20 : commençant à 8h00, il était temps de me préparer pour ainsi rejoindre mon quotidien monotone, qui consistait à assister à mes cours de la journée.

    Enfin arrivé, je peux rejoindre la salle où mon cours devait se dérouler, commencer la journée pour la finir au plus vite. Étant arrivé au hall central qui était par ailleurs le lieu de discussion et échange entre élèves, quand soudain quelque chose retint mon attention : La salle qui hébergeait mon cours avait changé, à mon plus grand désarroi, pour se dérouler finalement en salle 008. N’ayant jamais entendu parler de ce lieu, je descendis au sous-sol en quête de trouver cette salle mystérieuse, mais ce ne fut pas ce à quoi je m’attendais…

    Découvrant une salle aux caractères effrayants, j’observai une peur, une crainte dans les yeux des élèves présents. « C’est l’une des premières fois qu’elle est ouverte ! » laissa échapper un des élèves qui se trouvait aux alentours et qui en outre se sauvait en courant. Intrigué, je décidai donc d’entrer dans cette salle aux allures effrayantes. Une fois à l’intérieur la température avait chuté et l’entièreté des choses présente aux alentours de la salle semblait disparaître, pour laisser place à un silence profond. La porte claqua et m’enferma dans cette salle effroyable qui désormais ne m’offrait plus la moindre issue me laissant en état de choc. Je voulais échapper à mon destin qui s’annonçait funeste. Tout à coup je perdis connaissance.

- Mais que fait-il enfin !                                                                                                                                                 

Je me réveillai ainsi au milieu du couloir, figé au sol ne pouvant plus prononcer le moindre mot...